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Aujourd’hui, lumière sur le jean flare. Ça vous dit quelque chose ?
Chez Oraije, nous sommes des fans inconditionnels de cette forme depuis des années. 
On revient avec vous sur l’histoire de ce modèle iconique qu’on porte nuit et jour.

Les premiers jeans flare ont fait leur apparition à la fin des années 60, en particulier durant le mouvement hippie où de nombreuses stars du rock l’ont porté au quotidien.

 

Tout d’abord masculin, le jean flare s’est ensuite très vite retrouvé dans le vestiaire féminin.
Il peut aussi bien être imprimé que brut, et, contrairement aux pantalons pattes d’éléphant, il est un brin plus large (‘wide” ndlr) et flatte encore plus la silhouette. Janis Joplin, Mick Jagger et bien d’autres en ont fait leur
fashion touch.

 

Chez Oraije, on adore vous voir porter nos flare favoris.

Ici le modèle EMELYNE a été choisi par Sissi (@sissialaffrancaise ) et Jeanne (@jeanne_andreaa).
Il existe en deux coloris différents, denim stone (comme sur les photos ci-dessus) et denim brut (une teinte plus foncée).
On a ajouté des boutons à l’avant de ce jeans afin de lui donner une touche plus vintage.

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Étape 2 :

Les idées de Jessica parcourent le globe pour arriver en Chine, à Guangxi, dans notre premier atelier. Ici, les fils de coton sont tissés afin d’obtenir notre toile de denim. Les toiles issues de cette atelier répondent à plusieurs critères strictes, permettant de porter le label Standard 100 et ainsi promettant des articles sans substances nocives à la santé. 

Étape 3 :

Nos belles toiles de denim prennent ensuite la route pour Guangzhou, afin de  rejoindre notre prochain atelier où elles sont empilées les unes sur les autres pour être découpées selon la forme désirée. Ensuite, les différentes pièces sont cousues avec un savoir faire incontestable pour obtenir un jean brut.

Étape 4 :

Nous nous retrouvons toujours à Guangzhou mais cette fois dans un autre atelier pour une étape indispensable : le traitement de la toile «  le délavage ». En effet, sans cette étape, tous nos jeans auraient la même teinte. Celle-ci peut être réalisée avec des procédés différents. Cependant, cette étape comporte un coût environnemental important. 

C’est pourquoi, nous testons de nouvelles techniques dans le but d’être plus responsable. Dans un premier temps, nous optons pour un lavage à l’eau claire pour les pièces qui le permettent. Ensuite, nous utilisons une technique du délavage au sel et à la pierre pour celles qui nécessitent des traitement différents à l’obtention de la teinte désirée.

L’absence de produits chimiques permets la réutilisation de l’eau sur plusieurs produits. Actuellement, nous testons le délavage à l’ozone, une des méthodes les plus respectueuses de l’environnement. 

Étape 5 :

De retour à l’atelier de confection, les dernières finitions telles que l’ajout des boutons et des fermetures sont apportées. Une fois le produit terminé, celui-ci passe au contrôle technique pour s’assurer de sa qualité et de sa durabilité. Toutes les tailles de nos jeans sont vérifiées afin d’assurer un respect de la charte des tailles et ainsi vous fournir des coupes flatteuses. 

Étape 6 et 7 :

Direction le port de Guangzhou, où nos produits sont prêts à la cargaison.

Et après un long voyage, la cargaison est réceptionnée au port du Havre.

Etape 8 :

C’est la fin de cette aventure, nos produits arrivent dans nos locaux, à Paris, et sont prêts à être mis en vente. En moyenne, un jean parcourt 65 000 km avant d’arriver en magasin. Chez Oraije, nous limitons cette distance à 20 460 km grâce à une production unique en Chine, dans des ateliers contrôlés pour assurer la qualité de nos produits mais aussi des conditions de travail des employés. 

Nous travaillons, chaque jour, à nous améliorer.

Avec 2 nouvelles collections par an et des pièces intemporelles de qualité, nous souhaitons encourager une consommation plus responsable chez nos clients.